Le bon vieil annuaire papier avec sa remise à jour fastidieuse a vécu… A l’heure de Facebook, pour constituer et faire vivre leur réseau d’anciens, les établissements d’enseignement supérieur innovent sur le Web. Les nouvelles technologies leur permettent, (presqu’) en deux clics, de retrouver leurs anciens élèves ou d’animer un réseau déjà constitué. Et avec la crise et une insertion professionnelle encore plus périlleuse pour les jeunes diplômés, ces nouveaux outils risquent de s’avérer encore plus indispensables.
Les établissements sont aussi intéressés par ces outils car ils peuvent rapporter gros. Quatre millions d’euros ! Ce montant record avait marqué les esprits il y a plus d’un an. C’est celui du chèque signé au nom d’HEC, par Philippe Foriel-Destezet, diplômé de l’établissement en 1958, fondateur et président d’honneur d’Adecco. La preuve qu’en France désormais, comme de l’autre côté de l’Atlantique, les anciens élèves peuvent aider financièrement les écoles et les universités qu’ils ont fréquentées, même si les déboires de la Bourse pourraient freiner les élans de générosité.
Les universités sont cependant plus à la traîne que les grandes écoles en matière d’assiduité relationnelle. Ces dernières mettent les bouchées doubles pour motiver les dons, quand les universités en sont à peine… à identifier leur réseau. Pour gagner du temps, certains établissements misent sur Internet et ses nouvelles technologies. Voici quelques-unes de leurs bonnes pratiques, qui présentent l’avantage d’être très vite opérationnelles.
Les établissements sont aussi intéressés par ces outils car ils peuvent rapporter gros. Quatre millions d’euros ! Ce montant record avait marqué les esprits il y a plus d’un an. C’est celui du chèque signé au nom d’HEC, par Philippe Foriel-Destezet, diplômé de l’établissement en 1958, fondateur et président d’honneur d’Adecco. La preuve qu’en France désormais, comme de l’autre côté de l’Atlantique, les anciens élèves peuvent aider financièrement les écoles et les universités qu’ils ont fréquentées, même si les déboires de la Bourse pourraient freiner les élans de générosité.
Les universités sont cependant plus à la traîne que les grandes écoles en matière d’assiduité relationnelle. Ces dernières mettent les bouchées doubles pour motiver les dons, quand les universités en sont à peine… à identifier leur réseau. Pour gagner du temps, certains établissements misent sur Internet et ses nouvelles technologies. Voici quelques-unes de leurs bonnes pratiques, qui présentent l’avantage d’être très vite opérationnelles.